Chères et chers membres HR Swiss,
Après le refus de la révision de la prévoyance professionnelle en votation populaire, les parlementaires en reprennent les éléments incontestés. En matière de politique familiale, ils affirment leur ouverture face au congé parental, tout en refusant de l’assortir de trop de conditions dès le début des travaux.
Deuxième pilier
Suite au rejet de la révision de la prévoyance professionnelle en septembre dernier, plusieurs motions ont été déposées, tendant, entre autres, à des améliorations pour les personnes ayant un revenu modeste ou des contrats de travail multiples, ou travaillant à temps partiel. Ces motions ont été attribuées à la commission compétente pour examen préalable afin d’avancer de manière coordonnée.
Introduction d’un congé parental national
Les initiatives parlementaires des cantons de Valais et Tessin demandent l’introduction d’un congé parental d’au moins 20 semaines, dont au moins 14 pour la mère. La part du père doit s’élever à 20% minimum de la durée totale du congé. Le Conseil des Etats a refusé ces initiatives car il les jugeait trop restrictives. Il a renvoyé aux initiatives des cantons de Genève et de Jura qui visent aussi l’introduction du congé parental, mais qui ne prévoient pas de conditions minimales. Ces dernières sont actuellement traitées par la commission correspondante du Conseil national.
Renseignements :
HR Swiss, info@hr-swiss.ch, 026 350 33 80